Photographies
Cariatides
2016
Œuvre dans l'espace public, La Duchère, Lyon 9e
Frise monumentale 250 x 1200 cm. 42 photographies, dos bleu, 250 x 250 cm ; 250 x 350 cm
Financement : Lyon Métropole Habitat
Direction artistique : Marianne Homiridis / Bureau des Projets
Design graphique : Loïc Boyer
L'œuvre Cariatides est à l’initiative de l'association de locataires de la barre 110 Vivre au Château
et de la Compagnie de danse Hallet Eghayan. Elle a été inaugurée à l'occasion des 33e Journées européennes du patrimoine et sera entretenue pour une durée de 5 ans.
Cariatides est une frise monumentale d’Yveline Loiseur enchevêtrant mises en scène et improvisations avec comme interrogations ce qu’on peut dire de son lieu de vie et de son grand ensemble.
L’oeuvre est intitulée Cariatides. Elle se déploie sur le soubassement d’une barre de logements, long de 120 mètres. Ce panoramique est conçu comme une écriture musicale. Il fait le lien entre les figures et le lieu, il marque la fragilité et l’instabilité des images. Dans l’esprit d’un petit théâtre de situation, entre construction poétique et rigueur documentaire, les portraits sont le fruit d’un travail de rencontres et de discussions avec les habitants qui rejouant le modèle collectif de l’immeuble recomposent une nouvelle géographie relationnelle de leur habitat. Chaque portrait nous dit, peut être, « qu’un être supposé fixé à une place est toujours en réalité participant à plusieurs mondes. » (Jacques Rancière)
Avec son titre, on peut y voir le symbole contenu dans la tradition des Atlantes et Cariatides qui intégrant des figures humaines dans l’architecture soutiennent des colonnes ou des piliers en souvenir de l’oeuvre d’Atlas. Et le film court d’Agnès Varda, Les Dites cariatides bis (1984), nous dit combien ses figures monumentales sont fascinantes à travers les vers du poème La beauté de Charles Baudelaire.
Œuvre dans l'espace public, La Duchère, Lyon 9e
Frise monumentale 250 x 1200 cm. 42 photographies, dos bleu, 250 x 250 cm ; 250 x 350 cm
Financement : Lyon Métropole Habitat
Direction artistique : Marianne Homiridis / Bureau des Projets
Design graphique : Loïc Boyer
L'œuvre Cariatides est à l’initiative de l'association de locataires de la barre 110 Vivre au Château
et de la Compagnie de danse Hallet Eghayan. Elle a été inaugurée à l'occasion des 33e Journées européennes du patrimoine et sera entretenue pour une durée de 5 ans.
Cariatides est une frise monumentale d’Yveline Loiseur enchevêtrant mises en scène et improvisations avec comme interrogations ce qu’on peut dire de son lieu de vie et de son grand ensemble.
L’oeuvre est intitulée Cariatides. Elle se déploie sur le soubassement d’une barre de logements, long de 120 mètres. Ce panoramique est conçu comme une écriture musicale. Il fait le lien entre les figures et le lieu, il marque la fragilité et l’instabilité des images. Dans l’esprit d’un petit théâtre de situation, entre construction poétique et rigueur documentaire, les portraits sont le fruit d’un travail de rencontres et de discussions avec les habitants qui rejouant le modèle collectif de l’immeuble recomposent une nouvelle géographie relationnelle de leur habitat. Chaque portrait nous dit, peut être, « qu’un être supposé fixé à une place est toujours en réalité participant à plusieurs mondes. » (Jacques Rancière)
Avec son titre, on peut y voir le symbole contenu dans la tradition des Atlantes et Cariatides qui intégrant des figures humaines dans l’architecture soutiennent des colonnes ou des piliers en souvenir de l’oeuvre d’Atlas. Et le film court d’Agnès Varda, Les Dites cariatides bis (1984), nous dit combien ses figures monumentales sont fascinantes à travers les vers du poème La beauté de Charles Baudelaire.